Apparue en 1968, la gamme « Nastro d’Oro », ou « Ruban d’Or » dans la langue de Molière, fut tentaculaire, avec plusieurs dizaines de modèles allant de deux à six cylindres et de 25 à 145 ch. Enfoui dans les profondeurs du catalogue, fabriqué pendant seulement une année, un modèle a brillé par sa discrétion : le 460. Il méritait bien d’être mis sous les projecteurs de cette rubrique Contact.
Après les Someca de Bourbon-Lancy se mêlant aux fabrications purement italiennes, puis les tentatives ponctuelles de relooking de certains modèles pas forcément heureuses – on pense notamment au 612, la gamme Fiat-Someca du début des années 60 commençait à manquer cruellement d’unité et de cohérence. La première réaction du constructeur transalpin prit la forme, en 1965, de la série Diamante (Diamant) apportant notamment un design plus lisible, plus clair, et surtout, plus fort. Pourtant, cette gamme fera long feu, si bien que dès 1968, elle est remplacée par celle qui deviendra certainement l’une des plus connues du constructeur : les Nastro d’Oro, connue dans l’Hexagone sur le nom de Ruban d’Or… Retrouvez l’intégralité de cet article dans le n°103 de Tractorama.
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