Dans le numéro 2 de Génération Tracteur, nous étions partis à la rencontre de propriétaires de John Deere de la série 30 et 40, dotés pour certains du fameux pont avant hydraulique qui fit couler beaucoup d’encre. Aujourd’hui, nous avons souhaité nous intéresser à la série 50 qui lui succéda. Notre but fut de voir de quelle façon le constructeur américain avait su faire évoluer ses tracteurs, avec notamment le passage à un pont avant mécanique plus conventionnel. Car depuis les séries 00 et 10 caractérisées par le passage aux multicylindres verticaux, puis leurs évolutions avec les séries 20 et les premiers ponts avant hydrauliques sur le 4020, l’insonorisation de la cabine amenée sur la série 30, et enfin les prémices du pont avant mécanique sur la série 40, les choses ont beaucoup évolué chez le Cerf. D’un point de vue technique, la série 50 sur laquelle nous nous penchons aujourd’hui marquait à l’époque l’arrivée à une certaine maturité de la gamme. Pour cela, nous avons rencontré cinq propriétaires utilisant au quotidien des modèles allant du 2250 au 2850 en passant par les 24 et 2650. Sur le Vieux Continent, cette gamme a représenté le cœur du marché moyen, avec des puissances allant de 62 ch à 86 ch. Pour mieux répondre à la demande de la clientèle, deux types de cabines furent proposées : la « SG2 », Sound Guard de seconde génération, et la version « MC1 » moins aboutie, mais répondant aux exigences d’une frange de la clientèle avec notamment deux portes. Les 22, 24, 26, et 2850 ont la même base mécanique, ils ne diffèrent que très peu techniquement, les deux petits ayant un moteur atmosphérique, les deux gros un moteur turbo. La clientèle John Deere est généralement exigeante et attend beaucoup. Confort, adhérence, maniabilité, fiabilité… Voici le point de vue d’utilisateurs de ces tracteurs construits à partir de 1986 à Mannheim… Retrouvez l’intégralité de cet article dans le numéro 11 de Génération Tracteur.
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