Les Case IH Magnum 7100 et 7200
21 juillet 2015

Les Magnum sont sortis en 1987, il y a bientôt 30 ans. En 1993, la série 7200 est venue la remplacer, avec un échelon de puissance supplémentaire et un modèle en haut de la gamme, le 7250. Aujourd’hui, les 7100 et 7200 commencent à se raréfier. Ils sont, soit partis à l’Est pour une nouvelle vie dans de grandes exploitations, soit continuent à travailler sans  broncher, en tracteur d’appoint, ou en première ligne, ou ont été revendus à des exploitations qui cherchent de la fiabilité, de la puissance pour un coût modique. Leur fiabilité est légendaire, leurs gros moteurs sont robustes et endurants. Leurs boîtes de vitesses Powershift qui ont a fait l’objet de méfiance lors de leur sortie s’avèrent très fiable. Ce sont des tracteurs simples, assez monstrueux, à la maniabilité moyenne, mais tellement appréciés pour leur côté bête de somme qu’on leur pardonne. Nous avons interviewé plusieurs utilisateurs, en utilisation intensive ou moins soutenue, mais avec toujours un dénominateur commun, un côté passion intact. Voici leur retour… Retrouvez l’intégralité de cet article dans le numéro 24 de Génération Tracteur.

1 commentaire

  1. BOCARD

    Décidemment, ce numéro est gorgé de souvenir. Mon oncle avait un 7210… Franchement rien à redire. Le bruit du CUMMINS…. un régal.
    Le sien avait eu un problème de fragilité de la fourchette de blocage du frein de parc (cassé au bien au dessous de son amorce de rupture) et en plus c’était sur moi que cela était tombé en plein champs avec la charrue….
    La vidange de la Boite n’était pas évidente si on et pas bien équipé (200 litres d’huile si mes souvenirs sont bon)
    Mais à côté de cela, malgré les pneumatiques basses pression, il tractait super bien quelques soient les conditions (la boite powershift et le système de contrôle du relevage aidait fortement).
    Un souvenir: au labour, sous un orage assez important avec une 6 fers brabants semi-porté Kverneland vari-large. mon oncle m’appelait toutes les 15 min à la CB car il était étonné de ne pas me voir rentrer. J’ai arrêté non pas parce-que le tracteur n’en pouvait plus et que je faisais du dégat, mais simplement parce-que la terre restait collé sur le versoir!!!!

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