Chez les Van Herzeele, l’agriculture c’est de père en fils et en fille puisque Nicolas, le fils, est installé en GAEC avec sa sœur. Chez eux, c’est également le royaume des John Deere, qui composent la moitié de l’écurie avec cinq volants, mais aussi des Fendt au nombre de quatre et enfin un « intrus », si on peut le qualifier ainsi, un Renault. La marque au cerf est arrivée dans l’exploitation car le concessionnaire, et ami de la famille, se trouve juste à trois kilomètres, pratique et cela va faire naître chez le père de Nicolas une passion pour un modèle particulier, « j’ai la marotte des 2130 ! » Puis le concessionnaire devient Fendt, alors tout naturellement la famille le suit et ils y trouvent des avantages. « Quand on choisit un Fendt qui est plus cher au départ qu’une autre marque il faut bien le dire, on a le plaisir de ne pas payer les réparations s’il y en a, car se sont des tracteurs très fiables. En fait, si on achète en faisant un emprunt sur cinq ans par exemple, durant cette période on s’acquitte seulement des anuités, c’est appréciable. Et maintenant, si on achète un tracteur neuf, c’est un Fendt, mais d’occasion, ça peut être une autre marque et notamment des John Deere. Par rapport aux Fendt, ils sont un peu plus maniables et faciles à réparer soi-même ; en revanche, les vitesses passent mal et ils sont gourmands en carburant. » Quant au Renault 951-4, un peu isolé parmi tous ces verts, il est arrivé principalement parce qu’il est équipé d’un inverseur mais aussi parce que « c’est un bon tracteur et nous avions déjà eu un 651 précédemment. » Visite guidée… Retrouvez l’intégralité de cet article dans le numéro 12 de Génération Tracteur.
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