Au gré des représentations et des voyages, Amaury Wallez a passé la plus grande partie de sa vie dans les salles de concert. Mais n’ayant jamais oublié ses racines terriennes, il décide à sa retraite de substituer le rythme des moteurs à celui de la musique. Commençant par le Güldner paternel, il s’est ensuite constitué une écurie de fidèles compagnons de labeur.
Pour raconter l’histoire d’Amaury Wallez, il faut remonter dans les années 30 et se déplacer dans la région valenciennoise. C’est là-bas qu’il naît, dans la ferme familiale : « mon père a pris la succession de mon grand-père, en commençant comme maréchal ferrant, puis cultivateur, et éleveur, avant de se mettre à vendre du matériel agricole en parallèle de l’exploitation ». C’est dans cet environnement qu’Amaury s’imprègne en quelques sortes du monde agricole, du rythme des saisons, et des mécaniques. Ses premiers souvenirs en la matière remontent à l’achat par son père dans les années 50 de son premier tracteur, un SFV, pour remplacer les animaux. D’autres viendront, ainsi que des Lanz, avant que le père ne jette son dévolu sur une marque peu connue à l’époque : Güldner… Retrouvez l’intégralité de cet article dans le n°111 de Tractorama.
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